Les vers solitaires.

La Guêpe a écrit:

Cela me fait penser à la théorie de mon meilleur ami.
On a tous un alter ego.
Mais on ne sait pas que c'est lui quand on le rencontre.
En clair, tu peux kiffer un mec, t'en lasser et passer le reste de tes jours à le pleurer.
C'est bête, hein ?

D'où l'intérêt d'entretenir en de nombreux foyers d'anciennes flammes qui procurèrent jadis d'excellentes braises.

Atala, animé d'un puissant sens moral.

Atala a écrit:

D'où l'intérêt d'entretenir en de nombreux foyers d'anciennes flammes qui procurèrent jadis d'excellentes braises.

Atala, animé d'un puissant sens moral.

Ben oui.
Mais il est tellement con qu'il préfère pleurer.
Une aptitude certaine à la lamentation.

La Guêpe a écrit:

Cathy a écrit:

je l'ai déjà rencontré le grand Amour..
il me manque juste le mec qui va avec...

Cela me fait penser à la théorie de mon meilleur ami.
On a tous un alter ego.
Mais on ne sait pas que c'est lui quand on le rencontre.
En clair, tu peux kiffer un mec, t'en lasser et passer le reste de tes jours à le pleurer.
C'est bête, hein ?

J'en ai eu plus d'un alter ego,toujours su les reconnaitre.
La vie n'en fait pas toujours des amants.
La vie sépare souvent,mais si je pleure le manque un peu,
cela ne dure jamais longtemps.
Mes alter ego sont libre, et j'en suis heureuse pour eux.
Un jour il y aura celui qui reconnaitra sa place auprès de moi,
peut-être...

La Guêpe a écrit:

Ben oui.
Mais il est tellement con qu'il préfère pleurer.
Une aptitude certaine à la lamentation.

Chaque homme vénère sa compagne des sécrétions qui lui sont possibles.

Ainsi certains font l'amour avec leurs glandes lacrymales.

Mais cependant ça se termine toujours en agitant un mouchoir.

Atala a écrit:

Chaque homme vénère sa compagne des sécrétions qui lui sont possibles.

Ainsi certains font l'amour avec leurs glandes lacrymales.

Mais cependant ça se termine toujours en agitant un mouchoir.

Oui.
Mais bon, faire l'amour avec les glandes lacrymales...
C'est moyen moins.
Pas de plaisir, pas de microbes non plus.

La Guêpe a écrit:

Oui.
Mais bon, faire l'amour avec les glandes lacrymales...
C'est moyen moins.
Pas de plaisir, pas de microbes non plus.

Puis des yeux gonflés, même si le regard est pénétrant, y a beau dire ça le fait bien moins hein.

Atala a écrit:

La Guêpe a écrit:

Oui.
Mais bon, faire l'amour avec les glandes lacrymales...
C'est moyen moins.
Pas de plaisir, pas de microbes non plus.

Puis des yeux gonflés, même si le regard est pénétrant, y a beau dire ça le fait bien moins hein.

Sans oublier la morve qui coule.

La Guêpe a écrit:

Atala a écrit:

La Guêpe a écrit:

Oui.
Mais bon, faire l'amour avec les glandes lacrymales...
C'est moyen moins.
Pas de plaisir, pas de microbes non plus.

Puis des yeux gonflés, même si le regard est pénétrant, y a beau dire ça le fait bien moins hein.

Sans oublier la morve qui coule.

en forme dès le matin à ce que je vois...

Cathy a écrit:

La Guêpe a écrit:

Sans oublier la morve qui coule.

en forme dès le matin à ce que je vois...

10 h de sommeil, ça requinque..

Jamais moins proche, malgré un éloignement,
Nouveau venu dans ma vie, envie de te connaitre.
Avec mille précautions, me laisse sans amant,
Impossible amour, plus vrai que tous les maîtres.
Mariage de sentiments, de destinée,
Eblouie, séduite, par tant de vérité.
Que ne puis-je vivre ça en réalité?
Un amour de cet ordre ne peut exister.
Et pourtant, il arrive, je le sens venir,
Tout près de moi, je n'ai plus ainsi qu'à le voir.
Oublier le malheur, voir l'amour refleurir,
Infini romantisme, tu es mon espoir.

L'oiseau qui chante dans ma tête
Et me répète que je t'aime
Et me repète que tu m'aimes
L'oiseau au fastidieux refrain
Je le tuerai demain matin.
Prévert

Parce que je suis en train de le relire et que j'aime ses poèmes.

La Guêpe a écrit:

L'oiseau qui chante dans ma tête
Et me répète que je t'aime
Et me repète que tu m'aimes
L'oiseau au fastidieux refrain
Je le tuerai demain matin.
Prévert

Parce que je suis en train de le relire et que j'aime ses poèmes.

dis tout de suite que mes poèmes ne vallent pas ceux de Prévert si tu l'ose...

euh non dis le pas, je tue mon piaf demain aussi, promis...

Cathy a écrit:

dis tout de suite que mes poèmes ne vallent pas ceux de Prévert si tu l'ose...

euh non dis le pas, je tue mon piaf demain aussi, promis...

Les miens, sûr qu'ils ne les valent pas.

Ce jour là il pleuvait averse
En descendant de ta voiture
Tu es tombé à la renverse
J'ai alors pris une biture.

La Guêpe a écrit:

Cathy a écrit:

dis tout de suite que mes poèmes ne vallent pas ceux de Prévert si tu l'ose...

euh non dis le pas, je tue mon piaf demain aussi, promis...

Les miens, sûr qu'ils ne les valent pas.

Ce jour là il pleuvait averse
En descendant de ta voiture
Tu es tombé à la renverse
J'ai alors pris une biture.

ils sont... comment dirais-je...euh...renversant...

ils viennent du coeur, c'est sur...

Cathy a écrit:

ils sont... comment dirais-je...euh...renversant...

ils viennent du coeur, c'est sur...

Tu pouvais mettre ça :

La Guêpe a écrit:

Cathy a écrit:

ils sont... comment dirais-je...euh...renversant...

ils viennent du coeur, c'est sur...

Tu pouvais mettre ça :

je n'oserais pas...

Cathy a écrit:

euh non dis le pas, je tue mon piaf demain aussi, promis...

Celui dans ta cuisine qu'est devenu sourd?

Atala a écrit:

Cathy a écrit:

euh non dis le pas, je tue mon piaf demain aussi, promis...

Celui dans ta cuisine qu'est devenu sourd?

tous ceux que je croise sur mon chemin,pas de quartier...

Cathy a écrit:

Atala a écrit:

Cathy a écrit:

euh non dis le pas, je tue mon piaf demain aussi, promis...

Celui dans ta cuisine qu'est devenu sourd?

tous ceux que je croise sur mon chemin,pas de quartier...

Donc pas d'oranges...

Raphael a écrit:

Cathy a écrit:

Atala a écrit:

Cathy a écrit:

euh non dis le pas, je tue mon piaf demain aussi, promis...

Celui dans ta cuisine qu'est devenu sourd?

tous ceux que je croise sur mon chemin,pas de quartier...

Donc pas d'oranges...

Bâ non, mais on pourra pas m'accuser de voler celle du marchand..

L'amour...

Plus j'en parle, plus j'ai l'impression de m'éloigner.
De ces mots sans âme, de ce coeur froid et muet,
Saurai-je un jour seulement ce que c'est qu'aimer?
Sans me poser de question, pourtant je le fais.

Ainsi, de tous les visages, beaux, de l'amour,
Ceux les plus chaleureux, ne le paraissaient pas.
Au détour d'un chemin, une rencontre,toujours,
Celle qui te donne envie de suivre pas à pas.

De ceux qui veillent sans jamais le paraitre,
Je me suis éloignée, pour ne pas déranger.
Apprendre à être aimée, j'ai besoin d'un maître.

Seule dans mon trou de souris, pas d'illusion.
Partout autour de moi,conjugue le verbe aimer,
Rêvant simplement de trouver mon pygmalion.

Une impression de déjà vu, de déjà ressenti,
Une annonce certaine de trahison, d'infâmie.
Dois-je me fier à ces répétitions,
Dois-je avoir peur de ces révélations.

Rien ne change à part quelques acteurs,
Aucun plaisir à me sortir de la torpeur.
Je serai sacrifiée et jetée aux lions,
Pourquoi en irait-il d'une autre façon?

Qui y a-t-il de changé depuis la dernière fois?
Rien, apparemment, puisque c'est toujours toi et moi.
Il serait préférable que je fuis ce destin,
Sachant que je n'apprécierais pas le lendemain.

La reine se retire de l'échiquier
Et laisse sa place aux fou et cavaliers.
Ne supportant pas qu'on se serve d'elle,
La loyauté, réservée aux demoiselles.

Pourquoi cette peur de ce que tu es?
Pourquoi cette peur de ce que je suis?
Du passé, tu n'en as pas fini,
Du présent il me faut aimer...

On lit ces poèmes en écoutant "LLoran los clarines" et on se flingue.

La confiance règne entre lui et moi,
Il ne donne rien qu'il puisse regrêter,
Il demande ce qu'il ne veut donner.
Pas d'apnée, je vais respirer loin de toi.

Cela n'avait pas d'importance,
Il me blesse juste par sa méfiance.
Par ses barrières données aux femmes,
Qui de trop près s'interressent à son âme.

Je ne peux me changer, juste loin de lui, partir,
Je ne veux pas être seule à prendre du plaisir.
Se rejoindre en terrain neutre, toujours possible,
Peu à peu l'indifférence deviendra la cible.

Et pourtant, tout aurait pu être si aisé,
Mais la confiance ne se décide pas.
Sauf si comme moi, on décide d'aimer,
Contre toute évidence, il me délivrera.