Relations sexuelles - interdit aux mineurs

warrior a écrit:

oué moi j'aurais plutot tendence a dire 1%

comme quoi on a des avis bien differents ?

au fait c'étais qui ? parce que si c'est TLN ca compte pas

bon ben ça compte pas alors

Grenouille Bleue a écrit:

Quand la partie sexuelle se passe bien, on peut développer les autres aspects de la relation facilement et ce n'est plus aussi grave. Mais si elle se passe mal, j'ai l'impression que ça prend de plus en plus d'importance car cela met les gens face à leurs propres angoisses ("je suis nul(le)", "il/elle ne m'aime pas assez"...) et ça devient un aspect prépondérant.

je dirais que ça prend effectivement plus d'importance quand ça se passe mal, mais que finalement on arrive à depasser ces difficulté et que on se rend compte que c'est pas le plus important.

Le plus important etant d'etre bien l'un avec l'autre je pense

titounne a écrit:

j'ai tenter de faire la même chose (de me forcer pourl'autre), resultat je suis totalement bloquée, plus rien de chez rien....

Tiens, ça me rappelle quelque chose

titounne a écrit:

je dirais que ça prend effectivement plus d'importance quand ça se passe mal, mais que finalement on arrive à depasser ces difficulté et que on se rend compte que c'est pas le plus important.

Le plus important etant d'etre bien l'un avec l'autre je pense

Je serais plutôt de l'avis de Grenouille. Mais à mon avis t'es tombée sur une perle.

DemieLune a écrit:

titounne a écrit:

j'ai tenter de faire la même chose (de me forcer pourl'autre), resultat je suis totalement bloquée, plus rien de chez rien....

Tiens, ça me rappelle quelque chose

Daviso a écrit:

titounne a écrit:

je dirais que ça prend effectivement plus d'importance quand ça se passe mal, mais que finalement on arrive à depasser ces difficulté et que on se rend compte que c'est pas le plus important.

Le plus important etant d'etre bien l'un avec l'autre je pense

Je serais plutôt de l'avis de Grenouille. Mais à mon avis t'es tombée sur une perle.

j'etais egalement de l'avis de grnouille jusqu'a y a pas tres tres longtemps.

Mais depuis en lisant divers temoignages et avec les differents message que j'ai lu ici ou ailleur en privée et en public ben finalement je me dit que oui c'est important mais ce n'est pas le plus important.

Et en me disant ça finalement ça vas mieux, je suis plus detendue et donc plus calme et peut etre aussi plus ouverte (pas de jeux de mots debiles merci )à l'idée de "faire la chose"

titounne a écrit:

j'etais egalement de l'avis de grnouille jusqu'a y a pas tres tres longtemps.

Mais depuis en lisant divers temoignages et avec les differents message que j'ai lu ici ou ailleur en privée et en public ben finalement je me dit que oui c'est important mais ce n'est pas le plus important.

Et en me disant ça finalement ça vas mieux, je suis plus detendue et donc plus calme et peut etre aussi plus ouverte (pas de jeux de mots debiles merci )à l'idée de "faire la chose"

Je pense qu'il faut beaucoup de communication dans ce genre de cas. Finalement, le plus dur ne doit pas être la fréquence des relations sexuelles en tant que tel, mais la perte d'estime qu'on doit avoir (comme dit plus haut, dans la veine "merde, je dois vraiment être nul" ou "merde, elle doit vraiment me trouver repoussant"). Mais si la confiance est totale dans le couple, je pense que ce n'est qu'une question de temps avant que les choses ne s'améliorent.

Grenouille Bleue a écrit:

Finalement, le plus dur ne doit pas être la fréquence des relations sexuelles en tant que tel, mais la perte d'estime qu'on doit avoir (comme dit plus haut, dans la veine "merde, je dois vraiment être nul" ou "merde, elle doit vraiment me trouver repoussant"). Mais si la confiance est totale dans le couple, je pense que ce n'est qu'une question de temps avant que les choses ne s'améliorent.

Tu vois, c'est ce que je disais : évaluer la santé du couple avec le sexe !

Les gens ont fait tout un mythe avec "la moyenne de relations sexuels par semaines", etc... Ya même des gens qui vont évaluer leur virilité par rapport à son partenaire... donc si le partenaire engraisse, il/elle doit maigrir, sinon ça va porter contre leur virilité !

C'est ridicule !!!

Qu'est-ce qu'on en a foutre de ce que pense les autres de la personne que t'aime ?! C'est pas eux qui vivent et couche avec !!

Et si les gens étaient moins criards sur les détails intimes, comme le nombre de relations sexuels. C'est personnel après tout ! C'est facile de dire n'importe quoi, de se vanter, de mentir, pour l'orgueuil et la "virilité". Tout ces trucs de "qui pisse le plus loin" c'est juste ridicule.

Je suis grunge, j'ai souvent les cheveux tout croche, je ne me maquille pas... je porte des chandails de laine ample l'hiver et je met une tuque pour ne pas avoir froid... Je sais qu'en dessous, j'ai un corps de déesse et je sais que mon Gaulois le pense aussi... alors qu'est-ce que j'en ai à foutre que les autres le sache ou pas !?! C'est pas de leur affaire ! Et qu'est-ce que j'en ai à faire que mes amis en couple couche plus souvent ou moins souvent que nous !?!

Je comprend juste pas ce besoin adolescent d'être "normal" et de faire savoir à tout le monde que... machin, peu importe, tout le monde s'en fout !? C'est quoi être "normal" ? Si pour la moyenne, c'est l'idéal à atteindre, c'est une norme, une borne, pour se rassurer... pour moi, ça veut dire "être comme tout le monde, se fondre dans la masse", beurk. C'est quoi cette idée de faire le mouton et suivre les autres... alors que peut-être que si tu écoutais ton coeur, tu réaliserais que ce qui est "normal", c'est pas ce qui te rendrait heureux ?

On est pas encore dans un monde de clone ou de robot, on n'a pas de numéro de modèle attaché à notre gros orteil, alors pourquoi faire "comme si" ? On a le droit de faire les choses comme on le sens !

Pour en revenir sur le sujet... pour moi, je préfère de loin la qualité à la quantité... Quelqu'un qui me dit "je baise 5 fois par jour quand je le vois", tout ce que je pense, c'est "ça doit pas être bon s'ils sentent le besoin de le faire si souvent !" Si elle pensait exprimer une "virilité", c'est râté !

DemieLune a écrit:

Je sais qu'en dessous, j'ai un corps de déesse et je sais que mon Gaulois le pense aussi...

C'est ça que j'essayais d'exprimer. Tu es bien dans ta peau parce que tu sais que ton gaulois t'aime comme tu es. Mais suppose que pour une raison ou pour une autre il ne veuille plus coucher avec toi (ou diminue drastiquement le nombre de rapports). Tu vas forcément te poser des questions, c'est humain. Si ça se trouve, il sera juste un peu fatigué ou stressé par le boulot, mais le commun des mortels se dira "ben alors, et mon corps de déesse ? Je l'attire plus ? Qu'est-ce qu'il a, je lui fais plus d'effets ? Il pense à quelqu'un d'autre, c'est ça, hein ?" Et hop, dévalorisation de soi.

Le doute féminin, ya rien de plus pervers

Ni de plus aléatoire: la logique emprunte des chemins tellement détournés, allez deviner qu'une phrase sortie il y a deux semaines à propos de quelqu'un d'autre puisse provoquer une remise en question complète d'un couple...

Grenouille Bleue a écrit:

C'est ça que j'essayais d'exprimer. Tu es bien dans ta peau parce que tu sais que ton gaulois t'aime comme tu es. Mais suppose que pour une raison ou pour une autre il ne veuille plus coucher avec toi (ou diminue drastiquement le nombre de rapports). Tu vas forcément te poser des questions, c'est humain. Si ça se trouve, il sera juste un peu fatigué ou stressé par le boulot, mais le commun des mortels se dira "ben alors, et mon corps de déesse ? Je l'attire plus ? Qu'est-ce qu'il a, je lui fais plus d'effets ? Il pense à quelqu'un d'autre, c'est ça, hein ?" Et hop, dévalorisation de soi.

...Humm, pas tout à fait... Je suis plus obstinée que tu penses... Besoin de savoir que mon Gaulois le pense, oui, certes, mais je suis plus convaincue que ça !

Ensuite, il y a le facture "communication". Quand je me pose une question... et ben je lui pose...

La communication est la clef existantiel de l'humanité.
Parfois, il arrive quand on communique, qu'on réalise qu'on ne pense pas de la même façon et qu'il n'y a juste rien à faire... Dans ce temps-là, je m'éclipse. Mais avec mon Gaulois, on finit toujours pas se comprendre, par s'entendre, par s'ajuster. On n'essaye pas de changer l'autre, on fait des tites concessions sans se brimer...

Grenouille Bleue a écrit:

Le doute féminin, ya rien de plus pervers

Les femmes qui se plaignent que les hommes sont-ci, sont-ça... les hommes que les femmes sont comme-ci, comme-ça... Vous avez pas pensé un moment que c'était peut-être juste la personne en face qui était comme ça... ou que vous tombez toujours sur le même type de personne et que si vous regardiez plus loin... vous verriez autres types...

Non mmmmais ! Vous me faites rire Devenez homosexuelles si vous pouvez pas enduré "le sex opposé"







tiens Grenouille... Tu le sais que je ne t'en veux pas vraiment

DemieLune a écrit:

Ensuite, il y a le facture "communication". Quand je me pose une question... et ben je lui pose...

Tu as confiance en toi, tu n'as donc pas à te sentir concernée. Mais lorsque je disais que le doute féminin était pervers, c'est que les réponses que l'on peut donner ne sont pas forcément satisfaisantes. Pour reprendre ton exemple, ça donnerait ça:

- Ces derniers temps, j'ai l'impression que ça ne va pas, il y a un souci ?
- Pfff, rien, rien, je suis juste un peu crevé, ça va passer

Et là, la terrible machine à fantasme féminin se met en marche: "Il me dit qu'il est crevé, mais pendant nos six premiers mois il n'a jamais fait ça, ca peut pas être que de la fatigue, il essaie de me cacher la vérité, oh la la il ne m'aime plus"

Nyark nyark nyark

Citation :

Les femmes qui se plaignent que les hommes sont-ci, sont-ça... les hommes que les femmes sont comme-ci, comme-ça... Vous avez pas pensé un moment que c'était peut-être juste la personne en face qui était comme ça... ou que vous tombez toujours sur le même type de personne et que si vous regardiez plus loin... vous verriez autres types...

C'est comme la chasse au dahu. Tant que je ne vois pas de fille dotée d'une inébranlable confiance en elle, je n'y crois pas

Citation :

Non mmmmais ! Vous me faites rire Devenez homosexuelles si vous pouvez pas enduré "le sex opposé"

Plus difficile de se trouver un cuisinier/homme de ménage que le contraire, je resterai donc hetero

Citation :

tiens Grenouille... Tu le sais que je ne t'en veux pas vraiment

Grenouille Bleue a écrit:

Tu as confiance en toi, tu n'as donc pas à te sentir concernée. Mais lorsque je disais que le doute féminin était pervers, c'est que les réponses que l'on peut donner ne sont pas forcément satisfaisantes. Pour reprendre ton exemple, ça donnerait ça:

- Ces derniers temps, j'ai l'impression que ça ne va pas, il y a un souci ?
- Pfff, rien, rien, je suis juste un peu crevé, ça va passer

Et là, la terrible machine à fantasme féminin se met en marche: "Il me dit qu'il est crevé, mais pendant nos six premiers mois il n'a jamais fait ça, ca peut pas être que de la fatigue, il essaie de me cacher la vérité, oh la la il ne m'aime plus"

Nyark nyark nyark

Tu ne tiens pas avec les bonnes filles !

Ce que tu illustres, c'est pas un truc féminin, mais un truc psychologique qui peut aussi arriver aux mecs... c'est un truc qui pointe à l'adolescence et qui, selon l'évolution "saines" de la personne devrait passer après 22-24ans.

Je t'en dis plus si tu veux

DemieLune a écrit:

Je t'en dis plus si tu veux

Dis m'en plus, je veux

Grenouille Bleue a écrit:

Je pense qu'il faut beaucoup de communication dans ce genre de cas. Finalement, le plus dur ne doit pas être la fréquence des relations sexuelles en tant que tel, mais la perte d'estime qu'on doit avoir (comme dit plus haut, dans la veine "merde, je dois vraiment être nul" ou "merde, elle doit vraiment me trouver repoussant"). Mais si la confiance est totale dans le couple, je pense que ce n'est qu'une question de temps avant que les choses ne s'améliorent.

vi c'est bien pour ça que au depart c'etait hyper dur, mais finalement effectivement la frequence n'est pas si importante que ça, le tout est effectivement d'avoir confiance l'un dans l'autre

et surtout ne pas juger une relation sur la frequence des relations sexuelles car je trouve ça assez reducteur

Daviso a écrit:

Ni de plus aléatoire: la logique emprunte des chemins tellement détournés, allez deviner qu'une phrase sortie il y a deux semaines à propos de quelqu'un d'autre puisse provoquer une remise en question complète d'un couple...

ça sent le vecu ça ou je me trompe.

Grenouille Bleue a écrit:

- Ces derniers temps, j'ai l'impression que ça ne va pas, il y a un souci ?
- Pfff, rien, rien, je suis juste un peu crevé, ça va passer

Et là, la terrible machine à fantasme féminin se met en marche: "Il me dit qu'il est crevé, mais pendant nos six premiers mois il n'a jamais fait ça, ca peut pas être que de la fatigue, il essaie de me cacher la vérité, oh la la il ne m'aime plus"

Nyark nyark nyark

heu je connais des hommes qui resonne comme ça aussi... donc disons que c'est un raisonnement qui intervient quand on est pas sur sur de soi et de l'autre

Grenouille Bleue a écrit:

DemieLune a écrit:

Tu ne tiens pas avec les bonnes filles !

Ce que tu illustres, c'est pas un truc féminin, mais un truc psychologique qui peut aussi arriver aux mecs... c'est un truc qui pointe à l'adolescence et qui, selon l'évolution "saines" de la personne devrait passer après 22-24ans.

Je t'en dis plus si tu veux

Dis m'en plus, je veux

Extrait de : "Retrouver l'enfant en soi" de John Bradshaw... Un livre que je recommende à tout le monde pour comprendre facilement la psychologie de l'enfant, de l'enfant qui a eu un "trouble", comment corriger ce trouble et devenir un adulte épanoui. C'est ma bible !

Édition "Le jour, éditeur", traduction de "Homecoming", 1992...
Chapitre 1 : Comment l'enfant intérieur blessé contamine votre vie, page 38, "Les croyances magiques" (intro pour mieux comprendre l'ensemble du sujet, ainsi que l'énoncé suivant)

John Bradshaw a écrit:

Les enfants sont imprégnés de magie, de cette magie qui consiste à croire que certains mots, gestes ou comportements ont le pouvoir de transformer la réalité. (...) Or, il arrive que des parents perturbés renforcent la pensée magique de leurs enfants. (...) Songez seulement à la portée de ces quelques affirmations courantes : « Tu es en train de tuer ta mère! » ; « Regarde ce que tu as fait, tu as mis ta mère dans tout ces états! » (...)

Je me souviens d'une cliente qui, à trente-deux ans, avait été mariée cinq fois. Comme elle était convaincue que le mariage résoudrait tous ses problèmes, la question se résumait, selon elle, à trouver le « bon » partenaire ; (...) Une telle croyance est magique, car elle sous-tend qu'un événement ou une personne quelconques pourrait transformer la réalité de cette femme sans qu'elle ait quoi que ce soit à changer dans son comportement.

(page 39) La pensée magique est naturelle chez l'enfant. Cependant, si ses besoins de dépendance restent insatifaits, il ne grandit pas vraiment et devient un adulte contaminé par la pensée magique de l'enfance.

Voici d'autres croyances magiques extrèmement perniceiuse :

* Si je parviens à avoir de l'argent, je me sentirai bien.
* Si mon amoureux me quitte, j'en mourrai ou je ne m'en remetterai jamais.
* Un bout de papier (diplôme) fera de moi quelqu'un d'intelligent.
* Si je me « force » beaucoup, tout le monde me récompensera.
* Si je sais attendre, j'obtiendrai des résultats fantastiques.

On narre aux petites filles des contes de fées pétris de magie. Cendrillon a appris qu'elle devait attendre dans la cuisine l'arrivée du garçon possédent le bon soulier ! Blanche-Neige a reçu le message l'informant que son prince viendrait si elle savait attendre assez longtemps. Pirse au pied de la lettre, cette histoire raconte aux femmes que leur destinée dépend d'un nécrophile (...) qui, juste au bon moment, tombera sur elles par hasard au beau milieu de la forêt. Pas très réjouissant comme tableau !

Les petits garçons aussi sont incités, par les contes de fées, à nourrir des attentes relevant d'une croyance magique. Plusieurs histoires leur transmettent le message selon lequel il existerait une femme idéale, qu'ils doivent chercher et trouver. Dans cette quête, l'homme doit voyager au loin, traverser de combres forêts et vaincre des dragons aussi dangereux que terrifiants. Finalement, lorsqu'il trouveras cette femme, il saura, sans aucun doute, que c'est bien elle. (À la lueur de ces histoires, on comprend aisément pourquoi tant d'hommes sont si angoissés lorsqu'ils passent devant Monsieur le curé.)
(...)
Pour les femmes, la magie consiste à attendre l'homme idéal ; pour les hommes, elle consiste à chercher sans cesse la femme idéale.

Je suis évidemment conscient de ce que les contes de fées rélèvent du symbolisme et de la mythologie. Ils sont illogiques et leur langage est imagé, tout comme celui des rêves. Certains contes de fées sont (page 40) des énoncés symboliques illustrant la découverte de notres identité masculine ou féminine. Lorsque notre développement se déroule sans heurts, nous arrivons à dépasser la compréhension littérale que notre enfant intérieur avait de ces histoires et nous accédons à leur signification symbolique.

Toutefois, il n'en demeure pas moins qu'à partir du moment où notre enfant intérieur est blessé, il continue de prendre ces histoires au mot et que, subjugés par la prensée magique, les adultes enfants que nous sommes (l'auteur utilise "adultes enfants" pour signifier les gens qui ont eu un trouble d'enfance qui les ont empêché de s'épanouir proprement) des attendent ou recherchent leur dénouement parfait contenant la promesse d'un bonheur indestructible.

Chapitre de l'adolescence, entre 13 et 26ans, page 216, "La pensée égocentrique :

John Bradshaw a écrit:

(...) Son égocentrisme réside en ce qu'il croit que ses parents sont aussi obsédés par sa personne qu'il l'est lui-même. Les adolescents sont paranoïdes de nature ; avec eux, un simple regard indifférent peut être interprété comme un jugement négatif, comme une évaluation acerbe. Prenons comme exemple le scénario courant que voici. La jeune Violette vient d'être dédaignée par un garçon qu'elle idolâtre. Elle arrive à la maison à la fois déprimée et en proie d'un vif sentiment de rejet. Sa mère lui lance un « Bonjour, ma chérie! Comment ça va? » Violette se rue vers sa chambre en lui hurlant : « Tu ne pourras donc jamais me laisser tranquille, non! ». David Elkind a inventé deux expressions pour caractériser la nature égocentique de la pensée adolescente : « l'auditoire imaginaire » et « la fable personnelle », deux processus relevant de la grandiosité. Violette croit que sa mère a vraiment vu la scène de rejet et qu'elle a été témoin de l'humiliation qu'on lui a fait subir plus tôt. Du fait que l'adolescent a un conscience de soi très aiguë, il pense (et le croit): « Tout le monde me regarde.» S'il a fondamentalement honte de lui-même, sa conscience de soi s'en trouve douloureusement accrue.

La fable personnelle de l'adolescent réside dans la croyance que sa vie est absolument unique. Son monologue intérieur commence à peu près comme ceci : « Personne n'a jamais souffert comme je souffre », et se poursuit ainsi : «Personne ne peut me comprendre », « Personne ne m'aime » et « Personne n'a jamais eu à supporter des parents comme les miens ». Vous rappelez-vous Tom Sawyer et son fantasme sur le thème de la mort ? Tom voit sa tante et d'atures adultes agglutinés autout de son lit de mort. Tous pleurent à en remplir des seaux de larmes. Ils comprennent alors quel être unique et extraordinaire il était. La fable personnelle prend habituellement fin au moment où s'établit une vraie relaton d'intimité. Le partage auquel la relation intime donne lieu aide réellement les individus à constater combien leur expérience est ou était ordinaire.

Juger la sante d'une relation uniquement (ou a 75% comme cite) au sexe est surement exagere, et encore plus si on se fie au "nombre" de rapport, mais je persiste a croire (voire a etre sure, sauf certains cas rares) que c'est tout de meme un facteur important, au meme titre (et pas MOINS ) que la complicite, l'humour etc...
Apres il peut y avoir des problemes de ce cote la, ca ne veut pas dire qu'il n'y a plus d'amour, mais si il n'y a pas de sexe sans raison (sans qu'il y ait un probleme de ce cote la, qu'il faut resoudre ensemble etc) ce n'est pas une relation de couple, point.

amandine75011 a écrit:

oui je suis tombée sur un specimen rare

carrement!!!
marmone marmone ...mmmm gnnnn marmone nnnn rouge grrrrrrr

Trompie a écrit:

Juger la sante d'une relation uniquement (ou a 75% comme cite) au sexe est surement exagere, et encore plus si on se fie au "nombre" de rapport, mais je persiste a croire (voire a etre sure, sauf certains cas rares) que c'est tout de meme un facteur important, au meme titre (et pas MOINS ) que la complicite, l'humour etc...
Apres il peut y avoir des problemes de ce cote la, ca ne veut pas dire qu'il n'y a plus d'amour, mais si il n'y a pas de sexe sans raison (sans qu'il y ait un probleme de ce cote la, qu'il faut resoudre ensemble etc) ce n'est pas une relation de couple, point.

bien sur que c'est important et que si y a pas de sexe sans raison c'est pas une "vraie" relation de couple.

Le problème bien souvent je dirais est de trouvé la raison qui fait que... moi j'ai pas compris tt de suite pourquoi je n'avait plus envie de cheri.
Ca a ete un des facteur de la rupture, je me disait : "je l'aime pas puisque j'ai pas envie de lui" maintenant je sais que c'est bcp plus compliqué que ça. Mais pour le comprendre il m'a fallut un peu de temps

et je pense que notre relation ne pourras pas durer toute une vie si ce problème n'evolue pas. Je dit pas avoir des relations sexuelles à tire larigot mais en avoir quoi.

parceque bon c'est sur ça compte quand même

Trompie a écrit:

(...) mais si il n'y a pas de sexe sans raison (sans qu'il y ait un probleme de ce cote la, qu'il faut resoudre ensemble etc) ce n'est pas une relation de couple, point.

J'ai l'impression que tout ce confond là..

Ya une différence entre "évaluer une relation par rapport au sexe uniquement"... et une relation sans sexe... Bien sûr qu'il faut au moins un peu de sexe dans un couple, sinon c'est juste des amis... mais de la à dire "chéri, on a pas fait l'amour cette semaine, alors qu'il faudrait le faire 3 fois semaine pour être comme les autres... donc on n'est pu un couple qui va bien... faut aller voir un psy!", ya une différence, non !?

-chéri, c'est samedi!! c'est l'heure de la séance hebdomadaire!!!
Dis je peux garder mes chaussettes cette fois??

Cette semaine, j'ai pas le goût chéri, alors fait ça vite, juste pour dire qu'on va toujours bien, hein !

*soupir* ...