l'arène est désertée

Quel bonhomme ce recteur!!

La-Croquante a écrit:

Quel bonhomme ce recteur!!

ça renvoie dans la culture de tout à l'heure...

ah ces djeunes...

Cathy a écrit:

La-Croquante a écrit:

Cathy a écrit:

La-Croquante a écrit:

Cathy a écrit:

Atala a écrit:

La-Croquante a écrit:

je vous envoie dans la culture

Bon si je les relève pas personne les voit.

Alors on trouve?

fallait le voir..chapeau

hé hé hé

Quel beau métier professeur....

déja faite ma belle.

Mais ne te vexe point car la morale a des qualités

je ne me vexe pas si facilement...mais je trouvais qu'elle avait sa place ici...

(y'a un truc à voir dans ta phrase mais je trouve pas,grrrrrr ça existe mâlité???)

Indice : un haut gradé se découvre.

Atala a écrit:

Cathy a écrit:

La-Croquante a écrit:

Cathy a écrit:

La-Croquante a écrit:

Cathy a écrit:

Atala a écrit:

La-Croquante a écrit:

je vous envoie dans la culture

Bon si je les relève pas personne les voit.

Alors on trouve?

fallait le voir..chapeau

hé hé hé

Quel beau métier professeur....

déja faite ma belle.

Mais ne te vexe point car la morale a des qualités

je ne me vexe pas si facilement...mais je trouvais qu'elle avait sa place ici...

(y'a un truc à voir dans ta phrase mais je trouve pas,grrrrrr ça existe mâlité???)

Indice : un haut gradé se découvre.

non,je vois vraiment pas...pourtant je sens bien qu'il y a un truc à voir..mais même avec l'indice..je trouve pas...
ça m'énerve quand je trouve pas...

Trop écouter le blues déteint le caractère
L’existence ne se vêt pas toujours de rose
Pour effleurer l’essence, je la vois en vers
Certes lubie mais nécessité, je compose

Pour moi et pour vous, je me livre sans pudeur
Offrant au partage ce plaisir égoïste
La curie je l’avoue m’impose quelques peurs
Ma plume timide s’encourage et persiste

La danse des sept voiles, ici, je perpétue
Ce strip-tease pourrait mettre mon âme à nu
Malgré mes doutes, de cette enceinte dispose
On n’écrit pas pour être lu, regardez, j’ose

Douces billevesées en valez-vous la peine ?
Effarouchée, je vous dédie cette rengaine
Je ne peux me modérer en moi ça bouillonne
Ma denture émoussée, c’est mon cœur que je donne

Un jour ou deux, un mois, un an, quelques semaines
Le temps effiloché se renoue dans l'arène
Comment pus-je passer, eh oui, au subjonctif
Devant ce sujet-là, in petto-je lascif ?

Quelques rimes jetées sur un papier buvard
Un écran délaissé comme un vieux tableau noir
A trop suivre ce cours les élèves se pressent
La poésie en pied, et la poète en fesse.

Ah, qu'elle m'a manqué, la reine combattante
Les tripes éclaboussant les filles palpitantes
Et si le sabre est dur, que la gorge est profonde
C'est le sang le plus pur qui soudain vous inonde.

La-Croquante a écrit:

la vestale s'octroie une pause pour placer ici qq vers qu'elle affectionne et souhaite vous faire partager

Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre.
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant.
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre.
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.

J'ai tout appris de toi sur les choses humaines.
Et j'ai vu désormais le monde à ta façon.
J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines.
Comme au passant qui chante, on reprend sa chanson.
J'ai tout appris de toi jusqu'au sens de frisson.

J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne.
Qu'il fait jour à midi, qu'un ciel peut être bleu
Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne.
Tu m'as pris par la main, dans cet enfer moderne
Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux.
Tu m'as pris par la main comme un amant heureux.

Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes.
N'est-ce pas un sanglot que la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe.
Ailleurs que dans le rêve, ailleurs que dans les nues.
Terre, terre, voici ses rades inconnues.

Aragon

Raaah! Et pourtant je deteste la poesie!
(enfin pour moi c'est aussi la chanson, de Ferrat)

Trompie a écrit:

Raaah! Et pourtant je deteste la poesie!
(enfin pour moi c'est aussi la chanson, de Ferrat)

Ouais, mais Aragon il est mort.

Atala bien vivant lui.

Pour vous servir.

"I love you both... but in a very different way"
(Grenouille, t'es un vrai...? C'est quand? )

Trompie a écrit:

"I love you both... but in a very different way"
(Grenouille, t'es un vrai...? C'est quand? )

Daviso m'avait dit : "si tu veux qu'ici les filles te parlent, imite la grenouille, c'est gagné à tous les coups".

Daviso :

Sinon suis bien emmerdé là, j'entrave pas un mot en english.

Euh...c'est joli Londres hein?

La dame de Morphée rejette les avances
Le murmure des soudards attire l’oreille
Mais les combattants trop lointains peinent au réveil
Ils l’abandonnent, rejetant leur allégeance

Ô pleutres vous abjurez, rabaissant vos armes
Claironnant retraite en costume de vilain
Du sang, elle en redemande pour son festin
L’inanition guette et rompt sa digue de larmes

Malgré cela la mominette est philosophe
La poésie est un délice solitaire
Elle adore dire ses mièvreries en vers

Mais par dessus tout, enthousiaste quand ça gicle
Se délecte, hum, des entrailles de la clique
La fange est parfaite pour clore cette strophe

Trompie a écrit:

"I love you both... but in a very different way"
(Grenouille, t'es un vrai...? C'est quand? )

Chandler vs Monica & chick/duck.

Non

et vi encore

Je viens encore bâillonner mes insomnies
Psalmodiant cette musique qui s’égrène
Gigue du sablier, minute au ralenti
Erato la cruelle ! Tes charmes m’enchaînent

Loin de moi, Mata-Hari, laisse-moi tranquille
Garde tes atours, tu sais bien que j’en frémis
Tu ris, sure de ton pouvoir, fille facile
Mon lit déserté, ma plume se réjouit

Les soupirs de ta lyre me laissent de marbre
Je mens. J’abdique. Je me perds dans ton girond
Dans ton jardin ensorcelant, je me morfonds

Tu me veux prisonnière, ta porte est close
A trop oser, je crois, je frise l’overdose
Mais je vivais, vis, heureuse auprès de ton arbre

Trompie a écrit:

Non

Yasmin Bleeth, pas Monica, une simple faute de frappe

La-Croquante a écrit:

La dame de Morphée rejette les avances
Le murmure des soudards attire l’oreille
Mais les combattants trop lointains peinent au réveil
Ils l’abandonnent, rejetant leur allégeance

Ô pleutres vous abjurez, rabaissant vos armes
Claironnant retraite en costume de vilain
Du sang, elle en redemande pour son festin
L’inanition guette et rompt sa digue de larmes

Malgré cela la mominette est philosophe
La poésie est un délice solitaire
Elle adore dire ses mièvreries en vers

Mais par dessus tout, enthousiaste quand ça gicle
Se délecte, hum, des entrailles de la clique
La fange est parfaite pour clore cette strophe

Pleurant sa solitude à des heures impies,
Une jolie guerrière en oublie le repos,
Les sens tous en éveil mais l’âme dans l’ennui,
Refuse à son corps le plus doux des cadeaux.

Jadis convié sans fin à un festin de roi
Son voisin de donjon trouve le lit bien vide.
Délaissant le bellâtre car à Casa en proie,
Elle récuse ses pommes, et que dire du cidre !

Traquant sans retenue dans l’arène le lion,
A son rugissement toujours prête à s’ouvrir,
Elle ne voit pas encore en les yeux d’Apollon
Le destin de Cyrène qu’il souhaite lui offrir.

Souvent périssent ainsi les amours transitoires !
Un fauve, une croquante et un homme qui dort
Convaincu qu’à la science elle consacre ses soirs,
Alors que sa promise lorgne vers le char d’or.

Lassés par les combats, et rejetant leur glaive
Les gladiateurs navrés attendent la relève.
Ils ont jouté, souffert, et affronté leurs peurs
Pour le sourire de celle qui avait leurs faveurs.

Attendant les hourras d'une foule en délire
Ils n'entendent que murmures voire l'ombre d'un soupir
Et renonçant alors aux honneurs, à la gloire
Au mur pendent leurs armes, ressassant leurs victoires.

Espérant qu'un nouveau, un jour jette le gant
Provoquant l'un ou l'autre des beaux héros d'antan
Pour les yeux d'une belle, brillants tels des saphirs

Défendant ses couleurs, le gladiateur hautain
Viendra hurler ses vers, en face de l'opportun
Tu défies son honneur, prépare toi au pire!

çay dla daube cette section

Le crachat du manant jamais n'atteindra l'aigle
Où est passé le style, où est la rime espiègle?
Et vos mots disgracieux, deshonorent votre bouche
Prenez garde monsieur, après l'envoi je touche.

Car à quoi bon se battre et à quoi bon mourir
Où est la gloire enfin à tuer des bouseux ?
C'est lassant, fatiguant, et parfois même pire
On salit ses habits de leur fluide poisseux

Donnez-moi des géants, des méduses impavides
Des démons, des devas, des mages flamboyants
Des taureaux indomptables et des ogres avides
Car reconnaissez-le, ce serait excitant.

Mais rosser d'une main une jeune donzelle
Envoyer un admin au code de la route
Ecarteler un cuistre aux relents de pucelle
C'est trop facile enfin de les mettre en déroute.

Daviso a écrit:

Le crachat du manant jamais n'atteindra l'aigle

Tiens, j'ai un pote qui dit "La bave du crapaud n'atteind pas mes couilles". Oui mes amis sont formidables

Brunette a écrit:

Tiens, j'ai un pote qui dit "La bave du crapaud n'atteind pas mes couilles". Oui mes amis sont formidables

Et notons que la bave de la blanche colombe atteint rarement le crapaud.

JorelePa a écrit:

çay dla daube cette section

Manants, tu oses ma demeure pénétrer …
Plie l’échine, prosterne-toi, crains mon courroux !
Ton audace, par tes mots platement crachés
Abreuve mon ire. Supplie-moi à genoux !

Hors de ma vue, vermine ! Boutez-le, Fidèles !
Les galantes, ici, ne doutent plus de leur foi.
En d’autres lieux agite ton escarcelle.
Mignon, laisse l’arène côtoyer les Rois.

Je vous trouve très cruels avec le sieur Jorelepa.

Tous, vraiment.

N'oubliez jamais que ce n'est qu'un matheux.

Et déjà pas si mal qu'il sache lire, non?