l'arène est désertée

La Guêpe a écrit:

Puma a écrit:

ta conduite, tu l'as laissée chez le concessionnaire?

Aucune agression.
Une constatation.

aucune agression: une question

Puma a écrit:

aucune agression: une question [/quote]

puma, mais feule donc, diantre!

La-Croquante a écrit:

Puma a écrit:

aucune agression: une question

puma, mais feule donc, diantre![/quote]

jamais quand je m'ennuie: je baille

Puma a écrit:

jamais quand je m'ennuie: je baille

va voir les archives, tu verras ce que cela signifie, hé hé

Puma a écrit:

La-Croquante a écrit:

puma, mais feule donc, diantre!

jamais quand je m'ennuie: je baille

Pour répondre à ta question, on est dans l'arêne.
Et je ne suis pas une guêpe mansa.

Si tu t'ennuies, on ne te retient pas.
Nul besoin de toros mansos.
Referme la porte du callejon en partant.
Adios.

La Guêpe a écrit:

Pour répondre à ta question, on est dans l'arêne.
Et je ne suis pas une guêpe mansa.

Si tu t'ennuies, on ne te retient pas.
Nul besoin de toros mansos.
Referme la porte du callejon en partant.
Adios.

snif, La guèpe il faut une traduction pour l'inculte Croquante, qui ne manie pas les langues, please

La-Croquante a écrit:

La Guêpe a écrit:

Pour répondre à ta question, on est dans l'arêne.
Et je ne suis pas une guêpe mansa.

Si tu t'ennuies, on ne te retient pas.
Nul besoin de toros mansos.
Referme la porte du callejon en partant.
Adios.

snif, La guèpe il faut une traduction pour l'inculte Croquante, qui ne manie pas les langues, please

Tu ne comprends pas quoi ?

La Guêpe a écrit:

Pour répondre à ta question, on est dans l'arêne.
Et je ne suis pas une guêpe mansa.

Si tu t'ennuies, on ne te retient pas.
Nul besoin de toros mansos.
Referme la porte du callejon en partant.
Adios.


Tu ne comprends pas quoi ?

et vi j'ai honte

La-Croquante a écrit:

La Guêpe a écrit:

Pour répondre à ta question, on est dans l'arêne.
Et je ne suis pas une guêpe mansa.

Si tu t'ennuies, on ne te retient pas.
Nul besoin de toros mansos.
Referme la porte du callejon en partant.
Adios.


Tu ne comprends pas quoi ?

et vi j'ai honte

Un toro manso, c'est un toro qui refuse le combat.
Callejon, c'est ce qui entoure la piste.

Atala, si je me plante, tu hurles...

ok, merci, je vais me coucher moins bete ce soir, c'est bien

La-Croquante a écrit:

ok, merci, je vais me coucher moins bete ce soir, c'est bien

Bon, moi j'y vais alors.
Les félins n'étant pas très courageux...

La Guêpe a écrit:

La-Croquante a écrit:

ok, merci, je vais me coucher moins bete ce soir, c'est bien

Bon, moi j'y vais alors.
Les félins n'étant pas très courageux...

bye, j'ai rencard aussi avec Morphée, il impatient celui-là, j'vais pas le faire attendre

Puma a écrit:

c pas une raison pour en degoûter les autres. tu dois bien avoir un bourre donc dans tes connaissances

j'ai hésité, puis je poste je suis dans l'arène après tout

Soupçonneuse souris, je renie ton fromage
Ta mixture viciée gâtant son affinage
La cuvette pleine de bouillon, je vomis
Va Pomponnette, sus à ton infamie

Cette fumisterie rabaisse mon estime
Ton costume mité dénature tes rimes
Ma candeur bafouée, je rejoints mes fidèles
Ton masque rabaissé, tu ne vaux pas querelle

décidément j'ai de la chance avec cette section c'est toujours aussi mort

JorelePa a écrit:

décidément j'ai de la chance avec cette section c'est toujours aussi mort

"Les mathématiques peuvent être définies comme une science dans laquelle on ne sait jamais de quoi on parle, ni si ce qu'on dit est vrai."

Bertrand Russel

il dit qu'il a plus djenou

Ca faisait longtemps, te revoilà mon amie
Toi, aguichante, tu susurres à mon oreille
Tu murmures tes invites à la poésie
Tu voudrais m’égarer dans tes monts et merveilles

Va Lilith, je reste froide devant tes transes
Je danse

Moqueuse, tu persévères dans tes avances
Balance tes hanches, enfançon, j’aurai ta main
Seul mon corps parle, je n’entends pas ton refrain
Lucide, je m’épuise et dénie ma méfiance

Je supplie : « Octroie-moi seulement quelques pauses ! »
- « Mon cœur, je ne partage pas, tu es à moi
Tu protestes, remues ma petite lamproie
Entre mes doigts, tu n’es qu’un jouet, une chose »

De ton cruel badinage, je suis perdante
Mes soubresauts abreuvent ce dialogue de sourds
Tu insistes, tu sais que je suis consentante
Je reviens toujours vers toi malgré mes détours

Mes pieds m’entraînent, je hurle mon énergie
Vas-tu toujours entretenir mes insomnies
Dans ce rude combat, jamais tu ne recules

Le son, je bouge, le rythme endiablé m’entête
Peine perdue, tu souris, déjà je m’arrête
Me voilà, la garce a gagné, je capitule


bon voilà un p'tit conte qui paie pas de mine mais bon ca m'amuse

La-Croquante a écrit:

Ca faisait longtemps, te revoilà mon amie
Toi, aguichante, tu susurres à mon oreille
Tu murmures tes invites à la poésie
Tu voudrais m’égarer dans tes monts et merveilles

Va Lilith, je reste froide devant tes transes
Je danse

Moqueuse, tu persévères dans tes avances
Balance tes hanches, enfançon, j’aurai ta main
Seul mon corps parle, je n’entends pas ton refrain
Lucide, je m’épuise et dénie ma méfiance

Je supplie : « Octroie-moi seulement quelques pauses ! »
- « Mon cœur, je ne partage pas, tu es à moi
Tu protestes, remues ma petite lamproie
Entre mes doigts, tu n’es qu’un jouet, une chose »

De ton cruel badinage, je suis perdante
Mes soubresauts abreuvent ce dialogue de sourds
Tu insistes, tu sais que je suis consentante
Je reviens toujours vers toi malgré mes détours

Mes pieds m’entraînent, je hurle mon énergie
Vas-tu toujours entretenir mes insomnies
Dans ce rude combat, jamais tu ne recules

Le son, je bouge, le rythme endiablé m’entête
Peine perdue, tu souris, déjà je m’arrête
Me voilà, la garce a gagné, je capitule


bon voilà un p'tit conte qui paie pas de mine mais bon ca m'amuse

Continue tes "p'tits contes".

Ils m'impressionnent.

La Guêpe a écrit:

Continue tes "p'tits contes".

Ils m'impressionnent.

oh arrête arrête tu me fais rougir, j'en ai des palpitations

mais j'aime qu'on se prosterne chuis toute émuse

La-Croquante a écrit:

La Guêpe a écrit:

Continue tes "p'tits contes".

Ils m'impressionnent.

oh arrête arrête tu me fais rougir, j'en ai des palpitations

mais j'aime qu'on se prosterne chuis toute émuse

Alors :

La Guêpe a écrit:

Alors :

alors là je ne rougis plus je suis chaude bouillante, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

La-Croquante a écrit:

La Guêpe a écrit:

Alors :

alors là je ne rougis plus je suis chaude bouillante, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Et avec cette bouche pulpeuse...
Arghhhhhh !

La Guêpe a écrit:

Et avec cette bouche pulpeuse...
Arghhhhhh !

Belle amie, regardez comme je déraisonne
Tel les Parques, je file, le temps m’abandonne
Ici Spartes, sous un autre joug je laboure
Mon ennuie ne s’égare plus dans tes faubourgs

Pourtant la source a connu son heure de gloire
Quelques carpes survivent dans cet abreuvoir
Les fourmis s’agitent mais ont quitté le lit

Les fauves jadis, en avaient fait leur repaire
Traquant les bons mots et débusquant les vipères
Sa toile dépeuplée l’araignée se languit

La saison chaude fait fuir les hirondelles
En d’autres cieux volent phénix et dames oiselles
Quelques pachydermes tout comme moi s’attardent
Nonchalants, me permettant mes rimes bâtardes


mercredi

Il fait trop chaud pour parcourir le monde,
Fuyant un ennui qui colle à la peau.
A force de chercher l'égo qui innonde,
On se retrouve toujours au point zéro.

Point de pachydermes trop lent à bouger,
Mais juste des albatros, qui se sont posés.
Trouvant un hâvre de paix où pouvoir méditer,
Laissant les artifices aux apprentis bouchers.

Point de seigneur ni maître qui ne soit élu,
Pour un véritable talent de générosité.
Les imposteurs n'étant que des détritus.

Voir de loin une scène bien sensée,
Même si ça brille toujours beaucoup plus
N'empèche pas les acteurs de savoir aussi rester..