au hasard d'une lecture d'un autre forum,je suis tombé sur cet échange,ça m'a beaucoup fait rire...
posteuse indignée par les trolls pourisseurs de forums
On en rencontre sur tous les forums de ces parasites venimeux qui ne se sentent exister qu'en se montrant négatifs et hargneux, bavant leur fiel en pauvres paroles, aboyant une agressivité systématique. Ils se croient forts et craints : ils ne sont que pitoyables et méprisés. Pensant faire preuve d'un humour où la causticité le dispute au génie, ils ne sont que des pantins de foire, des clowns tristes à la lippe amère, des animateurs de supermarché. Déboulant rarement seuls (pour ça il faut un minimum de courage), ils sont souvent escortés d'un ou plusieurs acolytes, sorte d’éminences grises au petit pied, qui assurent la claque. Le moindre topic leur est prétexte à sarcasme, le moindre avis leur arrache un jugement péremptoire. Volontiers insultant, faute d'argument, le pourrisseur n'a pas davantage d'imagination : sans les autres il n'est rien puisqu'il lui faut leurs mots pour trouver les siens. Alors il erre, de forum en forum, s'ancrant là où la tolérance n'est pas seulement un mot. Il ne pense pas, n'a d'avis que contraire à ceux exprimés, ne communique pas, ne transmet rien, se contentant de déverser son aigreur en attaques absurdes avant, la mousse aux lèvres et content de lui, comme tous les imbéciles, de retourner à sa vie palpitante de moule d'élevage.
réponse d'un autre membre...
On en rencontre sur tous les forums de ces parasites venimeux qui ne se sentent exister qu'en se montrant demagogique et gluant, bavant leur melasse roseatre en pauvres paroles, aboyant une compassion systématique. Ils se croient aimés et justes : ils ne sont que pitoyables et méprisés. Pensant faire preuve d'un amour où la demagogie le dispute au génie, ils ne sont que des pantins de foire, des clowns tristes soixante huitard amère, des animateurs de supermarché. Le moindre topic leur est prétexte à l'indignation, le moindre avis leur arrache un jugement péremptoire. Volontiers moraliste, faute d'argument, le pourrisseur n'a pas davantage d'imagination : sans les autres il n'est rien puisqu'il lui faut leurs mots pour trouver les siens. Alors il erre, de forum en forum, s'ancrant là où l'amusement n'est pas seulement un mot. Il ne pense pas, n'a d'avis que contraire à ceux exprimés, ne communique pas, ne transmet rien, se contentant de déverser son indignation moraliste et demagogique, en niaiseries absurdes avant, la mousse aux lèvres et content de lui, comme tous les imbéciles, de retourner à sa vie palpitante de moule d'élevage.
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