Centre culturel.

Cathy a écrit:

La-Croquante a écrit:

Atala a écrit:

Cathy a écrit:

bon,j'ai vu marqué "centre culturel",et j'ai vu de la lumière,donc je suis venue poser ma question ici(franchement,j'allais pas faire un sujet pour ça)bon voilà,un alexandrin c'est 8 ou 12 pieds?J'ai un gros doute tout d'un coup.Merci à celui ou celle qui pourrait me répondre.

Nous voilà tous rendus en ce temple de mots
Pour dire notre ennui ou souvent nos envies;
L’endroit à un gardien, le maître Daviso
Qui jamais ne se trompe quand parfois il sévit.

13 pieds si je ne m'abuse????????????????
qui=1
ja=2
mais=3
ne=4
se=5
trom=6
peuh=7car e muet suivi d'une consonne
quand=8
par=9
fois=10
il=11
s'é=12
vit=13

tu le prononces le peuh toi?tu peuhhh donc faire mieux
(chouette une bataille )

Vous raillez donc les vers qu’à vos pieds je dépose,
En retournant vers moi cette mordante épine
Arrachée prestement de ce bouquet de roses
Que vos rires iniques bien tristement piétinent.

Atala a écrit:

Cathy a écrit:

La-Croquante a écrit:

Atala a écrit:

Cathy a écrit:

bon,j'ai vu marqué "centre culturel",et j'ai vu de la lumière,donc je suis venue poser ma question ici(franchement,j'allais pas faire un sujet pour ça)bon voilà,un alexandrin c'est 8 ou 12 pieds?J'ai un gros doute tout d'un coup.Merci à celui ou celle qui pourrait me répondre.

Nous voilà tous rendus en ce temple de mots
Pour dire notre ennui ou souvent nos envies;
L’endroit à un gardien, le maître Daviso
Qui jamais ne se trompe quand parfois il sévit.

13 pieds si je ne m'abuse????????????????
qui=1
ja=2
mais=3
ne=4
se=5
trom=6
peuh=7car e muet suivi d'une consonne
quand=8
par=9
fois=10
il=11
s'é=12
vit=13

tu le prononces le peuh toi?tu peuhhh donc faire mieux
(chouette une bataille )

Vous raillez donc les vers qu’à vos pieds je dépose,
En retournant vers moi cette mordante épine
Arrachée prestement de ce bouquet de roses
Que vos rires iniques bien tristement piétinent.

Je ne raillais point vos vers gentiment écris,
Mais de votre honneur demandais réparation.
Perdu dans la croisade,j'en oubliais le merci,
Que je vous devais,vous en demande pardon.

Mes errances m’ont attardées sur ce forum
Mêlant légèreté et esprit, mon fantasme !
J’apprécie le phrasé de ces gents dames et hommes
A la langue bien pendue, dénuée de sarcasme.

ouf c'était dur!

c'est le premier que je voulais mettre pas this one en fait

[quote="La-Croquante"]J’apprécie le phrasé de ces gents dames et hommes
[quote]

12 bien pesés...

La-Croquante a écrit:

Mes errances m’ont attardées sur ce forum
Mêlant légèreté et esprit, mon fantasme !
J’apprécie le phrasé de ces gents dames et hommes
A la langue bien pendue, dénuée de sarcasme.

ouf c'était dur!

On demande Maître Capello à la barre s'il vous plait(moi j'y connais rien mais ça me plait bien)

Atala a écrit:

Vous raillez donc les vers qu’à vos pieds je dépose,
En retournant vers moi cette mordante épine
Arrachée prestement de ce bouquet de roses
Que vos rires iniques bien tristement piétinent.

Pas très chantant...
Rires iniques... ta mère !

La Guêpe a écrit:

Rires iniques... ta mère !

Et de fil en aiguille ma mère se rit, donc.

Cathy a écrit:

[

Je ne raillais point vos vers gentiment écris,
Mais de votre honneur demandais réparation.
Perdu dans la croisade,j'en oubliais le merci,
Que je vous devais,vous en demande pardon.

Ô Pauvre troubadour à la verve lardée!
Certes je ne voudrais point par mon pic blésser,
Mais si c'est le dernier mot que vous recherchez,
Appréciez ces dames au lyrisme dévoué.

La-Croquante a écrit:

Ô Pauvre troubadour à la verve lardée!
Certes je ne voudrais point par mon pic blésser,
Mais si c'est le dernier mot que vous recherchez,
Appréciez ces dames au lyrisme dévoué.

Me voici proposant au maître fondateur
Un sujet bien à eux où les vers seraient rois,
Et où nous viendrions, modestes rimailleurs,
Verser nos mots rangés dans un ordre de choix.

ce troubadour à l'odeur allèchée,lui tint à peu près ce langage,he,bonjour monsieur...mince,je crois que je me plante de poésie,désolée...

(je sais je suis dissipée ce soir,je cherche une idée de vers,je détourne l'attention de la page blanche,vrai que ça m'énerve quand les idées ne viennent pas,par contre La Fontaine,lui il s'impose)

Atala a écrit:

La-Croquante a écrit:

Ô Pauvre troubadour à la verve lardée!
Certes je ne voudrais point par mon pic blésser,
Mais si c'est le dernier mot que vous recherchez,
Appréciez ces dames au lyrisme dévoué.

Me voici proposant au maître fondateur
Un sujet bien à eux où les vers seraient rois,
Et où nous viendrions, modestes rimailleurs,
Verser nos mots rangés dans un ordre de choix.

Vos idées sont bonnes,pour les poètes en herbe,
Les plus talentueux pour atteindre les cîmes,
Comme des guides avertis imposant le verbe,
La beauté des écris,pour que le ciel s'anime.

Atala a écrit:

Me voici proposant au maître fondateur
Un sujet bien à eux où les vers seraient rois,
Et où nous viendrions, modestes rimailleurs,
Verser nos mots rangés dans un ordre de choix.

C'est au jour neuf qu'il étudiera la requête
Désormais, les noctambules sont à la fête
Pendant que les modos dorment tranquillement
Voyez comme on se passe de consentement

La-Croquante a écrit:

Atala a écrit:

Me voici proposant au maître fondateur
Un sujet bien à eux où les vers seraient rois,
Et où nous viendrions, modestes rimailleurs,
Verser nos mots rangés dans un ordre de choix.

C'est au jour neuf qu'il étudiera la requête
Désormais, les noctambules sont à la fête
Pendant que les modos dorment tranquillement
Voyez comme on se passe de consentement

Il s'agit moins d'une permission,que d'un sanctuaire,
Où les mots seraient écris pour y mettre le coeur.
Où la forme serait faite de rimes et de vers,
Où la poésie serait reine en sa demeure.

Atala a écrit:

Me voici proposant au maître fondateur
Un sujet bien à eux où les vers seraient rois,
Et où nous viendrions, modestes rimailleurs,
Verser nos mots rangés dans un ordre de choix.

La-Croquante a écrit:

C'est au jour neuf qu'il étudiera la requête
Désormais, les noctambules sont à la fête
Pendant que les modos dorment tranquillement
Voyez comme on se passe de consentement

Cathy a écrit:

Il s'agit moins d'une permission,que d'un sanctuaire,
Où les mots seraient écris pour y mettre le coeur.
Où la forme serait faite de rimes et de vers,
Où la poésie serait reine en sa demeure.

Le maître fondateur, ne dormant pas encor
Aperçoit la requête, laquelle lui plaît fort.
En lui-même il acquiesce, mais ne voit pas enfin
Ce que veulent ses hôtes, pour rimailler sans fin.

Car de sa permission, ils se passent fort bien
La place, la feuille, la plume, ils ne manquent de rien.
Comment se fait-il donc, que si peu de vers fusent?
Que faudra-t-il de plus, leur trouver une muse?

Et pourtant savez-vous que ce cercle de sable
Abrita en son temps des épopées lyriques
Le fracas des combats, des guerriers redoutables
Pariant leur honneur à grands coups de cantiques ?

Si ma mémoire est bonne, et je sais qu'elle l'est
Vous devriez trouver parmi les posts épars
Quelques menus quatrains, quelques menus sonnets
Improvisés ici avant notre départ.

Ressuscitez-nous donc et donnez-nous la verve
Il faut que ça sanglote, il faut que ça énerve
Ici tout est permis, les fauves ont leur repas

Enfilez votre armure, embrassez votre femme
Ou bien dans l'autre sens si l'acier vous enflamme
Vous trouverez ici... la gloire ou le trépas.

tu vois que tu arrives à écrire ma Grenouille !
Toujours de belle plume, en plus !

...Alors, ce livre ??

Grenouille Bleue a écrit:

Enfilez votre armure, embrassez votre femme
Ou bien dans l'autre sens si l'acier vous enflamme

Quand on parle de rimes, on voit venir grenouille.
Parlant de combats, les mots en étant les flèches.
Les fleurs et les petits oiseaux se dépatouillent,
Pour trouver un endroit pour leur nid, moins revèche.

Un endroit où les vers seraient obligatoires,
Où chacun se devrait d'enfiler le costume.
Le hors sujet dans la forme il faut croire,
Le fond devant rester libre, comme de coutume.

Un exercice de style pour les rimailleurs.
Si l'endroit est ouvert par le maître des lieux,
Chacun y entrerait dans le respect, sans peur.
Ce sanctuaire où la guerre rejoindrait les cieux.

A trop bourrer l’arène,
par moult mécènes,
à une maison de traîne
par ici ça dégaine